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Le personnel de la Jirama sera en grève à compter de ce mercredi. Le mouvement est conduit par un collectif des employés qui conteste le changement des statuts de la compagnie. À Antananarivo, les grévistes prévoient un rassemblement à Soanierana pour coordonner leurs actions.
Ce mouvement vise à défendre le caractère public de la Jirama et à exiger plus de clarté sur l’avenir de la société, selon le collectif. Le personnel s’inquiète de la transparence du processus de réforme. Il considère ce changement de statut comme une plan de privatisation déguisé
En réaction, le ministre de l’Énergie et des Hydrocarbures, Olivier Jean-Baptiste, a affirmé que cette grève est illégale. Il a rappelé que les règles encadrant les mouvements sociaux dans le secteur public n’ont pas été respectées, notamment l’absence de préavis et de négociations obligatoires. Ce mouvement risque de pénaliser gravement les usagers, qui dépendent au quotidien de l’accès à l’eau et à l’électricité, a déclaré Olivier Jean-Baptiste. Ce dernier a réitéré que le nouveau statut de la Jirama ne prévoit aucune privatisation mais d’un plan de redressement stratégique, destiné à améliorer l’efficacité et la qualité du service. Le ministre déplore une mauvaise interprétation des textes par certains employés et assure que le gouvernement reste attaché au service public.
Face à cette situation tendue, le ministre appelle au dialogue et invite les représentants du personnel à revenir à la table des discussions. Il insiste sur la nécessité d’une solution concertée, dans l’intérêt de la population et du bon fonctionnement de la Jirama. Les syndicalistes de leur côté ne souhaitent que rencontrer le président de la République.
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Vos commentaires
L’ autosuffisance alimentaire et l’énergie font partie des piliers de la souveraineté nationale.
Qui dit souveraineté nationale dit prérogatives essentielles et obligations des détenteurs d’autorité publique.
Qui dit obligation dit responsabilité.
Qui dit responsabilité dit action positive dans le sens de la réalisation de l’objectif essentiel.
Mais l’État a toujours été défaillant sur ce point, non seulement défaillant mais a contribué à la destruction de cette souveraineté.
Et là maintenant, que veut faire l’État dans le contexte de cette grève ?
Amener la population à s’opposer à ce mouvement, inciter à opposer les uns contre les autres, à diffuser une logique d’affrontement.
Bref, à se disculper de ses propres erreurs !
Qui est à l’origine de l’endettement phénoménal de la société d’État ?
Qui n’avait pas pris la bonne décision au moment opportun pour le développement de l’énergie hydroélectrique ?
Qui avait approuvé ces contrats léonins contraires aux intérêts nationaux ?
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Tout gouvernement qui se respecte doit assumer pleinement ses Missions Régaliennes à savoir :
L’Education , La Santé , La Sécurité , la circulation des biens et des personnes , l’eau et l’électricité , les routes ,et les besoins fondamentaux de la Population .
Est ce le cas ? Malheureusement la réponse est par la négative , car nous avons un Etat défaillant , mais arrogant ...
Failed State and Rogue State .
Non ici ce n’est pas contre les « vraies réformes » que ce personnel intente une grève . C’est contre la réforme des avantages qu’ils touchent mensuellement et la réforme des vols et trafiquerie de tout genre dont certains d’entre eux ont l’habitude.
Savons nous qu’un directeur à la JIRAMA est doté de 200 litres de carburant par mois ? Savont nous que certains emplyés obtient 100 Litres de carburant par mois ? Et pour quoi faire ? Ils ne se déplacent pas en brousse tous les jours que Dieu fait ?
Savons nous que le personnel de la JIRAMA ne payierait à ce qu’on raconte qu’une somme symbolique sur leur consomation d’eau et d électricité ( aux environs de 5000 Ar par mois) et ce malgré les puissances qu’ils ont consommées ?
Détrompons nous, ce n’est pas à cause d’un statut de S.A , puisque la JIRAMA étaiit déja une SA depuis 1975.
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La mise en place définitive de ce nouveau statut marquera la fin des magouilles et des gabegies auprès de cette société.
Tsy maintsy mandrovo tsihy ny zatran’ny lalan-dririnina.
La Jirama n’appartient pas à ces employés, mais, à l’Etat Malagasy, donc celui-ci qui y a le dernier mot.
Pour les intérêts communs, mais non pas, ceux de minorité, l’Etatvdoit se montrer ferme, car La concession sur ce bras de fer signifiera la faiblesse et l’emprise de ces employés qui se permettraient réclamer l’impossible dans l’avenir.
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Tais-toi, débile. Tes litanies n’y changeront rien, tes mensonges non plus, ton arrogance, ta suffisance, ton obséquiosité, ta nullité, ta vanité, ta ridiculosité. Plus besoin d’argument quand on rencontre le néant absolu.
Ragnarok,
Parce que vous croyez que vos insultes changeront quelques choses ? Rajoelina reste Président et Madagascar est sur le bon rail vers l’émergence.
« Les employés de la JIRAMA ont annoncé la tenue d’une grève générale ce jour. D’après une déclaration faite hier, les membres de groupes syndicaux se donnent rendez-vous devant l’enceinte de l’agence à Soanierana pour cette manifestation tout en appelant leurs collègues dans les Régions à rejoindre le mouvement. Initialement, le nouveau statut de la compagnie nationale d’eau et d’électricité serait à l’origine de cette mobilisation des employés. D’après ce nouveau statut, cette entreprise publique est muée en Société anonyme à participation de l’Etat. Une mutation que certains employés soupçonnent de privatisation déguisée et qui est évoquée comme étant la motivation de cette grève.
Mais en réalité, ce serait une minorité d’employés qui tire les ficelles dans cette manœuvre de déstabilisation. A croire des sources bien informées, ces personnes sont au cœur de plusieurs affaires de détournement au sein de la JIRAMA et pour lesquelles le Pôle anti – corruption (PAC) est déjà saisi.
Les usagers pris en otage
Pour des questions d’intérêts, ces groupes d’individus sont donc en train de prendre en otage les usagers qui sont déjà fortement affectés par les coupures incessantes d’eau et d’électricité. Un calvaire quotidien qui a de grandes répercussions sur les activités socio – économiques de la population.
Puisque cette grève générale implique une cessation des activités, cela aura, sans aucun doute, encore plus d’impact sur l’approvisionnement en énergie pour les consommateurs.
Sur les réseaux sociaux, l’annonce de grève par les syndicats de la JIRAMA a été tournée en dérision par les internautes. En effet, cela fait plusieurs mois que la grogne monte chez les usagers à cause des délestages sans que cela ne provoque aucune réaction chez les employés de la compagnie. Ironie du sort, ce serait donc au tour des consommateurs de faire preuve…d’indifférence ! »
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Tena vongan-dinty ilay NANDRA boloky hirakiraka mpisolelaka voavidy vola , roa andro tsy hita tsy mahita havaly resaka avon-lenta teto mamely mafy ny président sucré du peuple dia misitrika . Tena kanosa ilay foza zanak’alika kely an’i Rainilainga . Izao vao be vava miaraka amin’ny « copier - coller » mahazatra satria kely loha !
Bonjour à tous,
https://actutana.com/any-zay-ilay-sahofika-sy-volopooor-be-eee/
par trodarjan
À cause des fozas au pouvoir,
– Et maintenant, que vais je faire de la vie de la JIRAMA, que sera la vie de la population ?
Faire une grève pour la JIRAMA,
– et pour le peuple subir des délestages en eau et en électricité à l’ infini (bis)
Et personnellement, je comprends et je soutiens ce mouvement, car tout est de la faute des fozas du pouvoir et de ses affidés, • de la courte vue, • des intérêts particuliers des importateurs de produits pétroliers et des transporteurs mis en avant contre l' 'intérêt général de la population, • de la non continuité de L' État.Cordialement
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Et rajoutons pour les fozas du pouvoir, l’ incompétence pour gérer les affaires de l’ État,
– avec comme conséquence la grande compétence,
Mais bon, je crois que le Peuple est encore heureux d’ être pressurisé et bien par les fozas du pouvoir : https://actutana.com/depeche/un-petit-resume-des-taxes/
Correction :
« d’ être pressurisé et bien taxé » au lieu de « d’ être pressurisé et bien »
Le Peuple est pauvre, et en voie de paupérisation permanente, mais au pouvoir on a encore des sous, beaucoup de sous, pour faire des conseils de ministres décentralisé qui à Nosy Be, qui à Fianarantsoa, qui à Sainte Marie, mais alors : https://actutana.com/depeche/et-a-quand-un-conseil-des-ministres-sur-les-iles-eparses/
Setrin’ ny fahantrana miompanpana mianjady @ vahoaka noho ny hanibin’ ny foza mitondra ny Fanjakana : https://lgdi-madagascar.com/2025/07/06/gazetinny-nosy/tandino-doza-tanteraka-madagasikara-miha-mahazo-vahana-ny-habibiana-ny-herisetra-sy-ny-tsy-fandriampahalemana/
"Ce mouvement risque de pénaliser gravement les usagers qui dépendent quotidiennement
de l’accès à l’eau et à l’electricité "dixit le ministre.
Ah bon ! parce qu’avant cette grève, ils ne l’étaient pas ? bande de bon à rien va.
Vous êtes tous des incapables et vous êtes à l’origine de l’état de délabrement
actuel de cette entreprise devenue JIRAMATY.
La seule solution pour ne pas aggraver davantage ce malheur des Malagasy,c’est de
dégager à coup de pieds dans le luc tous ces vauriens de voleurs de FOZA.
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Quand les carottes sont cuites , Les fossoyeurs de La République en appellent au dialogue .
Mais c’est trop tard , les Fonctionnaires vont venir à la rescousse , et tout tombera comme un Château de cartes ... Time is now , Lera ...
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Lekope,
C’est vrai, l’espoir fait vivre les déconnectés pour ne pas dire autre chose,….
Vous n’avez pas marre de croire que c’est la fin à chaque petit événement telle que cette grève de minorité des employés de la Jirama.
La majorité de ses employés sont convaincus que cette société a besoin d’un véritable redressement et que le plan que la direction actuelle est en train de mettre en place, c’est le bon qu’il ne faut pas rater.
Ry Malagasy havana, na ny eto antoerana na ianareo any dilambato anivo sy ankoatry ny riaka,
Tonga eo amin’ny kihon-dalana sy kizo ny fiainampirenena sy ny fiarahamonina Malagasy ankehitriny.
Ny fitiavantena miaro fitiavana harena maloto no tena fototry ny fahavoazana mankadiry. Tsy ny vahoaka Malagasy no tompon’antoka amin’izay nefa.
Miaro ny « aina » sy ny fahavelomana sisa no fara hery ho an’ny vahoaka, ilay fanjakana mba nianteherana efa niofo ho voay sy bibidia tsy niaro intsony ny maha olombelona manan’aina sy kitro ifaharan’ny Firenena.
Lavo ny Malagasy, tritra ny fiarahamonina, voahosy ny soatoavina, voaota ny rariny sy ny hitsiny, aroso atao antoka ny Tanindrazana sy ny harenampirenena.
Ny fiandrianampirenena sisa no tandrovana mba fitsinjovana ny aina. Io no lova sy hafatra nomen’i Zanahary ny olony.
Nomen’i Zanahary anao ny Air Madagascar, aiza izy izao ? Ny SOLIMA, BFV, BTM, BNI, ROSO, COROI, SICE, SOMACODIS, FIFABE, SOMALAC, SAMANGOKY... torak’izany !
Raiso ny andraikitra ry Malagasy, tsy ny mpiara-belona na ny mpiray tanindrazana no androsoana ady, fa ireo tsy maty manota.
Ireo tsy maty manota mangalatra, mampidi-trosa mamoafady, mivarotra ny Tanindrazana, mamitaka sy mamotika ny harenampirenena Malagasy.
Zanahary o, tahionao ny Tanindrazanay.
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400 millions de dollars de dette pour la société d’État devenues société anonyme depuis peu...
Un programme de démantèlement de la société d’État est en cours à travers un changement de statut.
Et une reprise organisée au profit de minorités d’ oligarque. Comme les anciennes sociétés d’État mentionnées supra.
Un État si prompt à trouver des solutions pour rembourser les dettes de la société Filatex auprès de la société d’État par l’entremise de la banque AFG. Mais incapable de préserver la souveraineté énergétique du pays.
Un État très agile à injecter des subventions et de les récupérer si promptement par des remboursements de dettes dont il est le principal responsable.
Et l’État qui fait face à une pression de la part de la Banque Mondiale et du FMI pour arrêter les subventions et s’engager dans la privatisation de la société.
Une privatisation au détriment de la souveraineté nationale et des intérêts nationaux.
Arrêtons le massacre programmé !
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ITV,
Bien sûr, à tout événement, vous trouvez toujours conspirak à poster.
Pourtant, la privatisation de cette société n’est pas encore dans l’ordre du jour, l’Etat reste le seul actionnaire.
Si l’Etat voulait la privatiser, sans ou avec changement statut, il pourrait toujours le faire d’une manière ou d’une autre..
en ce qui concerne « la fin des magouilles » signalée dans un post de 10:02, j’aimerai contre l’avis DES « petites mains », du (#7070), au sujet de cette « magouille » à venir !.
voir : https://www.madagascar-tribune.com/Rajoelina-ballons-sondes-pour-un.html
Juste pour éclairer le « déconnecté » d’Andafy.
@+
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Assalaamo alaikoum
Pour les Sociétés d’État rien ne marchent et toutes ont connu une mauvaise fin, exceptées pour les banques suite à leurs privatisations synonyme d’une bonne gestion. La Jirama a son destin devant elle : fin programmée ou renaissance ?
Pour le pays, une décision forte s’impose si l’on veut s’en sortir.
Budgétiser dans le vote de la LFI 2026 l’autosuffisance alimentaire régionale. Il suffit pour chaque région d’établir un Programme Régional de Souveraineté Alimentaire (PRSA) à voter lors de la session budgétaire d’octobre 2025 des parlementaires.
Pour la LFI 2026, ce PRSA est basé sur le développent du secteur primaire.
Pour la LFI 2027, un PRSE ( Programme Régional de Souveraineté Énergétique).
Pour la LFI 2028, un Programme Régional d’Industrialisation (PRI). Il suffit d’établir des budgets régionaux et non plus ministériel. En cas de besoins non financés voire GAP, l’État doit aider les régions à trouver des sources de financements. Réduire les nombres de ministères (régalien et sans PM). Le débat est ouvert.
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N’oublie pas que la société TELMA, devenue YAS actuellement, florissante et prospère, était une ancienne société d’État aussi.
Et la libéralisation du secteur ne signifie pas nécessairement une privatisation.
Le développement de la concurrence est un moyen aussi et qui n’exige pas le démantèlement de la société et du principe de service public.
Bref, la cause principale de la disparition des sociétés d’Etat est la corruption, le détournement de deniers publics, et l’impunité. Et la politisation de la gestion.
Le PRSA met le point sur le développement du secteur primaire (_culture vivrière, élevage, pêche, etc...) avec création d’emploi dans ce domaine. une mobilisation des forces vives régionales compétentes s’impose sous forme de conclave ou autres.Et c’est pareil pour le PRSE et le PRI. En trois ans, la base de l’émergence sur notre propre force est sur pied : une planche de salut pour le régime et un espoir de vie meilleure pour la population voire la sortie du tunnel. Qui dit mieux ?
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Re-,
https://actutana.com/depeche/ron-weiss-je-te-demande-et-je-tordonne/ , et tant qu’à faire autant demander à l’ imposteur français SAR DJ Lapin PUTSCHISTE POLTRON 6-ème d’âne de cas raté de faire de tous les malgaches des gens heureux, riches, jeunes et beaux.
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HS :
par Investig'Action
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Encore un HS,
Ailleurs, la superstructure anti-démocratique qu’ est l’ UE lance :
par CharbOfficiel
Comme par hasard, cette grève a été décidée après seulement la déclaration du Président sur le vol de carburants dans cette société,…
Alors que le nouveau statut avait été adopté, il y a déjà quelques mois, mais, ils n’y ont pas réagi
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