Cour des Comptes, Contrôle financier, Inspection Générale de l’État, Direction Générale des douanes, Direction Générale des Impôts...

A quel moment et période, et de quelle manière, à quelles conditions, toutes ces structures ont permis et ont participé, contribué dans la fonctionnalité de la machine administrative permettant à Ravatomanga et Rajoelina de s’enrichir au détriment de l’État Malagasy ?

Toutes les responsables au sein de ces structures devraient faire l’objet d’une enquête indépendante et impartiale associant la société civile et les autres corps intermédiaires de la société...

Personne n’aura l’audace de solliciter l’appui et la compétence d’un « Lucky Luciano » pour évaluer la performance d’un circuit de distribution de la poudre blanche ou encore à un « Bernard Madoff » de faire une proposition institutionnelle permettant de valoriser les épargnes privées et la mobilisation des ressources propres internes du trésor public !

Non, c’est aberrant !

Sinon comment se fait-il que le seul individu Ravatomanga aurait il à lui seul mobiliser un flux et mouvement financier pouvant dépasser le montant de la dette publique de l’État depuis son indépendance...sans les contributions effectives de ces responsables !