– Il n’y a pas de commanditaires parmi les petits bras de la sociétés licenciés ou incarcérés.
Sinon ils ne seront pas toujours en prison.

- Ce monsieur, Il n’a pas réussi malheureusement à rapporter les balles, ou les douilles échouées sur le parking.

Ce n’est pas le pauvre employé avec le salaire de misère de la JIRAMA qui peut se procurer une arme. - Il faudra déjà l’avoir en héritage après la révolte de 1972, ou encore l’avoir pas rendu à l’arsenal de l’armée après le décès du parent dans l’armée, la police, la gendarmerie, ou bien l’avoir reçu lors du soulèvement en 1993 entre Ratsiraka et Zafy, via toujours l’arsenal de la défense.

- Et le phénomène n’est pas qu’à Madagascar : Aux Comores, A Mayotte, A la Réunion (peut -moins - flagrant), à l’île Maurice, Seychelles, tous les pays pauvres où la loi est une contrainte mais franchissable en groupe de personnes concertés. Je l’ai connu depuis 1985, en travaillant avec la COLAS à Moroni. Même le pompiste de la station service est le racheteur - revendeur.

De plus il a de la chance de ne pas avoir eu l’offre de racheter du gasoil pour sa voiture sur le parking. Car c’est la méthode utilisée pour adhérer les cadres dans le système par compromission.