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Dans une lettre ouverte au président de la Haute autorité de transition (HAT) et au Premier ministre chef du gouvernement de la HAT, en date du dimanche 16 mai, Eliana BEZAZA, secrétaire général de l’association pour le jubilé d’or de l’indépendance de Madagascar et du centenaire de Philibert Tsiranana, - association à laquelle fait partie l’ancien colonel Albert Camille Vital, aujourd’hui général de Brigade et chef du gouvernement, condamne le discours de Andry Rajoelina du 12 mai dernier.
Petite fille du président Philibert Tsiranana, elle dénonce la lâcheté du président de la HAT, qui, après avoir fustigé tous les dirigeants passés de Madagascar pour le conduire là où il se trouve dans son gouffre aujourd’hui, se défile tout en se présentant comme un président ou un chef d’État responsable et en se cachant derrière la proposition d’une « feuille de route ». Quelque part cette lettre semble donner des leçons d’histoire et de sciences politiques à ses destinataires. En tout cas, l’auteur de cette lettre ne fait pas dans le détail pour condamner intelligemment le président de la HAT, mais surtout le Premier ministre qui cautionne les errements et l’inculture de son chef hiérarchique qui se complait dans ce qu’elle qualifie de « escamotage de l’histoire »
Ci après, de larges extraits de cette lettre..
« Lettre ouverte au président de la HAT, SE Monsieur Andry Nirina Rajoelina et au Premier Ministre de la HAT, Monsieur le Général de brigade Camille Albert Vital,
Messieurs,
Vous aviez fustigé, Monsieur le président, pendant votre récente intervention radiotélévisée, en préambule à votre annonce de ne pas vous présenter aux prochaines élections présidentielles, tous les dirigeants passés de ce pays pour n’avoir jamais rien fait que d’entraîner le peuple malagasy dans la misère, jusqu’au point où nous en sommes actuellement. Autrement dit : comme le pays est dans un piteux état (irrécupérable) par la faute de tous les anciens dirigeants qui ont tous mené le pays dans un gouffre, alors, je décide de ne pas me présenter… »
« Apparemment, à cause de ces « catastrophes par la faute des autres d’avant », vous déclarez forfait ! Mais quelle est donc votre mission au poste que vous occupez actuellement si ce n’est pas pour, du moins, essayer de redresser la situation ? Votre rôle est-il uniquement de faire un pont entre le gouffre et l’inconnu, l’à peu près, l’incertain ? Il est facile de balayer d’un revers de la main cinquante ans d’histoire de son propre pays, de traiter tous les dirigeants successifs d’incapables, ce faisant, de créer des animosités entre les générations, en donnant des préjugés unilatéraux comme éducation sur l’histoire de Madagascar à la génération montante, sans pour autant démontrer en quoi vous êtes meilleur que « tous ces autres d’avant ». Cela est à la fois arrogant et prétentieux. Nous voudrions bien croire en votre supériorité par rapport à « ceux d’avant », mais pour l’instant, faute de preuve, nous ne pouvons pas. Quel est votre bilan ? Avez-vous enrayé la pauvreté à Madagascar par une augmentation du taux de croissance ou par le rehaussement du niveau de vie des malagasy ? Avez-vous amélioré le sort des fonctionnaires ? La corruption a-t-elle diminué ? Avez-vous inauguré des infrastructures qui n’aient pas été initiées par vos prédécesseurs ? Le sort de tout un pays n’est d’ailleurs pas imputable à une seule personne. Nous sommes tous responsables chacun à notre niveau, y compris vous-même. Andry Rajoelina n’est pas né sous le régime d’Andry Rajoelina. Reconnaissez-le, vous ne seriez pas devenu ce que vous êtes maintenant sans les régimes précédents qui vous ont façonné. »
« Escamoter l’histoire, accuser tous les dirigeants de tous les torts est-il digne d’un malagasy ? D’un ray-aman-dreny ? D’un homme d’État ? Un vrai homme d’État assume son histoire, toute son histoire, bonne ou mauvaise, car l’histoire façonne le pays. Elle en fait partie intégrante. C’est en l’étudiant, en l’analysant, sans préjugés, que vous apprendrez à connaître vraiment notre pays avec les aspirations de son peuple, et penser à un avenir qui lui conviendrait. C’est à partir de là que vous pouvez construire un projet de société valable. Ne présenter que des « feuilles de routes » qui ne se reposent pas sur un vrai projet de société, c’est sauter le pas à l’essentiel. Il n’est pas étonnant que cela n’aboutisse à rien. La France, que vous admirez tant, a connu sa révolution en 1789 pour sa libération du joug de la monarchie absolue, il y a de cela 221 ans, mais les vicissitudes de l’histoire ont fait que la liberté, telle qu’elle est aujourd’hui, ne s’est acquise que très durement, petit à petit, au prix de beaucoup de sacrifices, entrecoupée de deux guerres mondiales. En tout cas, les français assument aussi bien les croisades du moyen-âge, que la période coloniale, comme la période postcoloniale. Les allemands assument aussi bien la période nazie que la construction pionnière de la Communauté Européenne, les italiens assument aussi bien la période fasciste et le passé vécu avec la mafia que l’entrée en démocratie, les américains du nord ont eu dans leur histoire le Mac carthysme, l’Afrique du sud l’apartheid qu’ils ont dépassé à travers la commission vérité et conciliation. Tous les grands pays ont eu leurs hauts et leurs bas, ce qui n’empêche pas tous ces pays d’être de grandes nations aujourd’hui grâce à la capacité de leurs enfants d’assumer leurs histoires sans complexe et d’avancer. Si un pays va de l’avant, c’est aussi grâce aux errements du passé, à condition d’avoir des dirigeants suffisamment patriotes, clairvoyants et soucieux du bien-être du peuple, pour ne pas renier le passé et faire du sur-place. »
« À en croire vos dires, le prochain 26 juin ne devrait pas être pour vous un jour de fête mais un jour de deuil. Si vous êtes logique avec vous-mêmes, ne faites donc pas de parade grandiose pour le cinquantenaire de l’indépendance mais comportez vous comme pour un 29 mars. Et tous ceux qui clament haut et fort que vous donnez ici une « leçon de patriotisme » devraient en faire de même. »
« Quant à vous monsieur le Premier Ministre, lorsque vous avez répété à la télévision, lors d’un point de presse, ce qu’avait dit monsieur le président, j’ai été personnellement surprise et attristée. Surprise car je connais le statut de vos parents sous la première république, que vous englobez aujourd’hui dans le lot des gens qui n’ont rien fait pour ce pays, et surtout votre appartenance à l’association pour le jubilé d’or de l’indépendance de Madagascar et du centenaire de Philibert Tsiranana, en tant que représentant pour l’ex-province de Tuléar, pas plus tard qu’avant votre nomination en tant que Premier Ministre. Que s’est-il donc passé entre temps pour que vous puissiez approuver de telles paroles, nonobstant le fait que le président de la HAT soit votre chef hiérarchique, vous n’êtes pas obligé de valider respectueusement tout ce qu’il prétend. Attristée, car le président de la HAT n’a pas connu la première république, mais vous, vous êtes né bien avant et vous étiez suffisamment conscient à cette époque là pour être témoin du fait que les malagasy étaient beaucoup plus prospères qu’aujourd’hui. D’ailleurs tous les agrégats économiques l’attestent. »
« Messieurs le Président et Premier Ministre de la HAT, bien que diriger un pays soit un exercice difficile, permettez moi de vous donner humblement un conseil : Si vous voulez marquer l’histoire, pesez vos mots, cela ne sert à rien de froisser et vous mettre à dos la moitié de la population, y compris celle qui vous était déjà acquise auparavant. » (Fin de citation)
Recueilli par Valis
Vos commentaires
Ce que je reproche au premier président de la république malgache c’est qu’il était à la tête d’un gouvernement « fantoche » , vous faites refèrence à Tuléar, sous les ordres de qui, la gendramerie a massacré la population de cette ville la quelle , ne demandait qu’on s’occupe d’eux car ils mourraient de faim
Tout le monde a lu sous le buste de Philibert Tsiranana à Antaninarenina ce ci
Pére de l’indépendance , non , revisez l’histoire de France , surtout le discour du génèral DE GAULLE à Brazaville en 1940
merci de m’avoir lu
Vous avez raison : tous les régimes issus de la « décolonisation » des années 1960 sont fantoches, sauf celui de la Guinée de Sékou Touré qui a osé dire non au référendum. Après, il est certain qu’économiquement, le pays était dans l’ensemble mieux que maintenant. Mais cela n’a rien à voir avec les qualités intrinsèques des dirigeants de l’époque ; tout simplement, la mondialisation à l’époque n’était pas à son niveau actuel e le franc malgache était intégré au franc. A l’époque, il y avait aussi des passe-droits et autres corruptions, des incapables nommés pour des raisons ethniques ou politiques, etc, etc.
« tous les régimes issus de la « décolonisation » des années 1960 sont fantoches, »..........
C’est toujours ce que aime dire les anti-1ère république. Quoique palpables, vous cherchez toujours à vérouiller les bonnes réalisations du régime du président Tsiranana. Vous voulez ou pas, il est jusqu’ici le Président de la République Malgache le plus patriotique. Si vous savez qu’il n’a pas priorisé sur la mise en place des infrastructures de base et la rehabilitation de la route à Mandritsara (alors sa ville natale), mais réalise cela à outrance chez d’autres ville du pays, vous êtes au moins convaincu qu’il n’était pas égoïste, c’est ça un homme objectif. Savoir définir des priorités les plus judicieuses pour le bien être de la nation.
Faites alors une comparaison de maintenant et de jadis (du temps de Tsiranana) en repondant aux questions :
1. est ce qu’actuellement (à 50 ans d’indépendance), le régime est moins fantoche qu’avant ?
Je sais que Si cette crise avait passé durant le régime Tsiranana, il est certain qu’on avait pas besoin de SADC, de la France, de lobbyisme Americain, et encore moins de la pression des bailleurs de fond via la CI pour la résoudre. Il en avait déjà 13 mai 1972, est ce que avait besoin de faire intervenir le grand père de Chissano pour la résoudre ?.
2. est ce que la vie des malagasy était mieux durant la première république que maintenant ?
3. pourquoi madagascar fait parti des tops 3 des pays d’Afrique du temps de régime Tsiranana ? Actuellement, même le comore nous dépasse.
betoko
dites-vous :
GOUVERNEMENT FANTOCHE ???
mérite un peu plus d’explications.
Merci d’avance
Avec tous mes respects.
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
Rainivoanjo
A cause du NON au référendum que vous voulez parler de la Guinée de Sékou Touré ???
« ON » a envoyé Monsieur Jean Lecanuet pour renouer avec cette ex-colonie.
Pas d’autre commentaire !!
Je suis toujours favorable pour coopérer avec la FRANCE,même en 2 010.
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
@Ramahefarisoa,
Cela peut vous déplaire mais AUCUN pays ex-colonie française n’a décollé économiquement, je dis bien aucun.Après, on peut toujours disserter sur les raisons de cet échec : corruption, incapacité, clientélisme, etc, etc.Une chose est certaine : avec des dirigeants de faible niveau intellectuel ou incapables d’analyser et/ou de proposer et d’imposer un projet de développement qui tient la route, AUCUN n’a atteint ni même approché le niveau des pays de l’Asie du Sud Est par exemple qui étaient pourtant à peu près au même niveau de développement à l’époque.Et ce n’est pas avec le diktat des bailleurs de fonds internationaux que cela risque de changer.Je suis en train de lire le livre de Joseph Stiglitz Making Globalization Work : je vous le conseille, il est très instructif.
rainivoanjo
j’ai déjà répondu à votre question,quelque part....
Bref,je reproche à la FRANCE d’être trop sociale et libérale avec ses colonies :
– Acceptez de payer les études,école laïque oblige
– Tolérez leur séjour temporaire et/ou définitif, même pour les boursiers etc. et les stagiaires.....
rainivoanjo
n’accusez pas toujours la France,nous sommes aussi responsable de notre « non-développement ».
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com.
Rien à dire ... leçon d’histoire pour ces hommes qui ne sachent pas ce qu’est la grandeur.
Grands hommes ? Comme dit nawack, ce n’était pas leur grandeur qui primait pour qu’ils s’asseyent sur le trône, c’était leur docile collaboration qui était demandée,pour la plupart. Pourquoi leur chercher une grandeur ? Le cours de l’histoire était le même pour toutes les ex-colonnies, avec son cortège d’incohérence, d’incongruités, de népotisme, de répression, d’opacité et j’en passe.
La leçon aurait due être assimilée et corrigée par l’amiral rouge qui a dilapidé et foulé tant d’attentes et d’espoir pour envisager la modernité. Au lieu de celà, il s’est affiché plus enclin que ses autres contemporains à la dictature de l’arbitraire et du clanisme bon teint. Encore une énième transpiration du modus opérandi du colon tant décrié, un misérabilisme intellectuel qui a plongé le pays et son peuple dans l’apopléxie économique et morale.
Ses succésseurs ont tenté à leur manière de corriger la courbe plongeante, chacun avec des résultats mitigés : le professeur a trop hésité sur la ligne à prendre et Ra8 petit malin qu’il est, a laissé entrevoir une certaine idée du sursaut économique salvateur avant de tomber dans le raisonnement économique à sens unique.
Qu’Andry n’y voit goutte pour pondre une quelconque analyse dont je sens qu’il n’en soit capable, ne m’émeut guère. Je ne lui ai pas demandé une telle acuité. Il a seulement et uniquement répété ce qu’on lui a ressassé, voilà tout, et le fait qu’il enchaîne les déclarations aussi obsolètes que débiles n’est pas un scoop en soit. Mais il ferait mieux de se taire, nous en conviendrons.
On dirait la réaction d’un enfant à qui on a refusé un bonbon...
Bravo Valis pour avoir recueilli ce témoignage bouleversant. :-))
« Comparaison n’est pas raison » dit un dicton français . Personnellement, je pense qu’il ne faut pas comparer des incomparables. Pendant la 1ère République , le Président Philibert Tsiranana était entouré de conseillers et de techniciens français et le PAYS était à 95% d’accord avec lui à toutes les élections législatives , présidentielles et autres... ??? !!! Score douteux !!
Il est vrai que la population ne manquait de rien matériellement mais le Néo-colonialisme était trop visible et les postes-clés étaient occupés par des coopérants français ( compétents et/ou incompétents, à chacun de juger) qui avaient des salaires 10 fois plus qu’un cadre national de même niveau ( diplôme ,compétence et expérience )...
La IIè République a bouleversé la situation du Pays ( politique tous azimuts, sortie de la zone franc , malgachisation des enseignements, postes de responsabilités occupés par des cadres malgaches etc...). Echecs pour les uns , succès pour d’autres, c’est selon !
lA IIIè République que nous vivons actuellement a connu et connaît encore des périodes difficiles à cause de certains vieux politiciens et de jeunes politicards inexpérimentés et très intéressés par le culte de l’argent et par des ambitions surdimensionnées . Je suis intimement convaincu que qqs révisions et amendements de certains articles de notre Constitution actuelle suffisent en tenant compte des vraies aspirations du Peuple SANS l AVENEMENT de CETTE FAMEUSE IVè REPUBLIQUE .... ( Politique de rigueur budgétaire oblige ! )
A mon avis , le nombre de républiques importe peu mais LA VOLONTE POLITIQUE POUR UN VRAI CHANGEMENT reste PRIMORDIALE ...
Wait and see ....
pour les enfants et les petits enfants de la première République de Madagascar,le « PERE » TSIRANANA n’a pas terminé son oeuvre à cause de « SA » maladie et il n’a pas eu le temps de préparer sa succession et la dispute durant son absence du Pays.
De son temps,tout paraissait facile car c’est l’Etat qui paye « TOUT » jusqu’au drap de lit à la maison et les« ZELES » du PISODIA faisaient les sales boulots.
TOUS MES MEILLEURS SOUVENIRS AU PERE TSIRANANA,étant né pas loin de son village natal et en souvenirs de tous les « INSTITUTEURS » de Madagascar.
Enfants et petits enfants de la première République,« NOUS » sommes embarqués pour le « CHANGEMENT » pour (à) Madagascar en 2 009/2 010.
Seul souhait « SINCERE » pour la réussite de ce « CHANGEMENT »
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
Ny fandoto iray tandroka mahaleo ny fandio iray siny.
Raha hitanisa ny tsy nety nataon’ireo Filoha aho dia ireto no hitako :
– Tsiranana nanaiky ny 1971 ary na tsy nanamboatra tany Mandritsara aza dia nanao an’Anahidrano.
– Tsiranana nanaiky ho fitaovan’ny Frantsay izay maro an’isa tokoa nitantana an’i Madagasikara, na dia efa nolazaina aza fa afaka isika
– Ratsiraka nihevitra fa hanampy azy hiala amin’ny ziogan’ny Frantsay ny Rosiana ka nitsipa-doha aloha loatra ny lakana mbola taingenana
– Ratsiraka tsy mba nanenjika ny mpanodinkodim-bola fa nanenjika kosa izay tsy mpomba an-dRatsiraka.
– Ratsiraka namela ny zanany sy ny fianakaviany nanjakazaka.
– Ravalomanana nanafangaro ny fananany tamin’ny fitantanam-bolam-pirenena na dia nilaina aza izany tamin’ny taona 2 002.
– Ravalomanana tsy mba nety natoro ka nihevitra fa izay heveriny ihany no tsara ho an’i Madagasikara ary ny fahadisoana nataony farany dia ny nanolotra fahefana ny miaramila.
– Rajoelina noteren’ny fitadiavany voatohintohina ka nanao ho ambetin’asa nanongana an-dra8
– Rajoelina mihevitra fa kilalaony manokana i Gasikara ka tsy ekeny ho zaraina amin’ny hafa
– Rajoelina nanapaka ny tetezana efa mankany amin’ny fandrosoana ka nanome toky - promesse solennelle - tetezana tsy ho hita.
Raha ny mahakasika ny taratasin’i Eliana Bezaza indray dia toa manome sahady an’i boaikely ny toerana tsy zakan’ny mokondohany ary mihevitra fa i Vital dia tsy hitsinjo ny tombontsoany manokana
Ceux qui veulent critiquer Philibert TSIRANANA peuvent le faire. C’est ça la liberté d’expression. De là à nous faire croire qu’il était moins intelligent politiquement que ceux qui lui ont succédé à la tête de ce pays, c’est vouloir critiquer globalement un baobab parce qu’il a un point noir sur son tronc. Prenez du recul vous verrez la différence avec les successeurs qui pour vous n’étaient peut-être pas des béni-oui-oui de la France. Vous préferez peut-être la girouette marxiste qui devient capitaliste car il fallait sauver ses pôches, ou l’incroyable incompétent politique qui passe pour le sage du coin, nous avons eu aussi un prétentieux qui pensait que ce pays se dirigait comme une laiterie, on peut malgré tout mettre à son crédit qu’il a eu des reconnaissances internationales pour différents projets réalisés.
Quand au pseudo président actuel, la France se rend compte que celui qu’elle prenait pour un pur-sang n’est qu’un brêle.
Vous avez des griefs sur S.E le Président TSIRANANA, libre à vous mais dites nous qui est votre oiseau rare qui n’aurait donc pas de défauts. Mon problème c’est que Dieu lui même n’est pas à l’abri des critiques. Il se peut que votre capacité d’analyse et de réflexion soit d’un niveau trop terre à terre ce qui vous fait prendre des vessies pour des lanternes.