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Le ministre des Forces armées, le général Lala Sahivelo, a annoncé l’ouverture d’une enquête conjointe avec les Forces armées de la zone Sud de l’océan Indien (Fazsoi), chargées de l’encadrement technique du saut en parachute qui a tourné au drame. Une commission mixte sera prochainement mise en place afin de déterminer avec précision les causes de l’accident survenu à Arivonimamo et de repérer toute faille éventuelle dans le dispositif mis en œuvre. Cette démarche vise à renforcer les protocoles de sécurité lors des exercices militaires et à éviter qu’une telle tragédie ne se reproduise.
Le drame s’est produit mercredi, lors d’un saut de brevet impliquant plusieurs officiers de l’Armée et de la Gendarmerie malgaches. Trois d’entre eux ont perdu la vie, victimes d’une rafale de vent soudaine au moment de l’atterrissage. Les parachutistes se trouvaient alors à basse altitude, et les tentatives d’ajustement de trajectoire, ordonnées depuis le sol, n’ont pas suffi à éviter la catastrophe. Plusieurs autres participants ont été blessés.
Le général Sahivelo a affirmé que toutes les conditions réglementaires avaient été remplies : équipements contrôlés, météo vérifiée, et état des participants évalué. « Rien n’est laissé au hasard pour ce type d’exercice, car la vie des officiers en dépend », a-t-il rappelé.
L’émotion est vive au sein des forces armées, mais l’heure est à l’analyse. Cette enquête devra établir les responsabilités, mais aussi permettre d’adapter les procédures pour mieux anticiper les risques liés aux facteurs naturels difficiles à maîtriser.
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Vos commentaires
Salama djiaby.
Cette histoire me parait tirée par les cheveux !
L’ instructeur ordonne habituellement du sol avec microphone (& jumelles) certes mais quand le parachute est ouvert il n’ y a plus beaucoup de possibilité d’ ajustement autre que tirer sur les suspentes pour ralentir la descente (ou chute), voir de déplacer de quelques mètre le point d’ impacte ou d’ atterrissage , particulièrement avec des parachutes ronds qui n’ ont qu’ une finesse de 1.
De plus largués à 700ms effectivement ils n’ étaient pas à une altitude mais juste une certaine hauteur .
Le parachute s’ ouvre automatiquement après + ou - 3 secondes soit une chute de +ou- 300ms en toute logique ils devaient être aux alentours de 400m du sol ( ce qui ne laisse pas beaucoup de marge de manoeuvre pour faire quoi que ce soit )
La hauteur de 700ms a été décidée parce qu’ en cas de torche c ’est la limite minimale pour libérer le dorsal et déclencher le ventral (pour des paras confirmés ce qui n’ est pas le cas !)
Je n’ ai pas connaissance qu’ une rafale de vent puisse mettre en torche un parachute ?
Cette histoire est abracadabrantesque ...
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& toujours ce besoin de faire appel à des tiers pour établit un diagnostique, une investigation, une analyse ou autopsie voir : autres bondieuseries, un aveu d’ incompétence, manque de confiance ou ?
Par contre pour les footeux, là pas de problème pour afficher une fierté (manifestement frustrée) qui demanderait plus pour s’ exprimer (de manière justifiée) ...
Tout comme le « posement » on nous cachera la vérité jusqu’au bout.
Tsy mandatsa ny,,ory akory ....
Condoléances aux familles des victimes
MAIS : le resuisitoire s’impose .... .
Il est quand même imprnsable que des instructeurs de parachutisme soient incapables de prevoir ou de consulter les données et TENDANCES MÉTÉOROLOGIQUES AVANT !!!!!
C’est comme faire cadeau de poignard à un enfant de trois ans !
Nous avons vraiment des officiers spécialistes du dzama, THB ou whisky et sans plus ....
Ancien officier supérieur de l’armée de l’air Malagasy, notre camarade Shalom en son temps n’a jamais subi de telle déconvenue, et n’avait jamais fait appel à la FAZSOI pour le tirer d’affaire...
Il en est de même du Général Rakotosolofo, alias puma noir, un héros des sauts en parachute dans les années 1980...
En tout cas, les risques du métier existent toujours, et une armée de métier mais pas une armée d’opportunistes et de bras cassés devra toujours en faire face...
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Bonsoir .
Il me semble que la FAZSOI était basée sur la base de St Pierre (Run) ?
Ou pas mal de barbouzes y étaient en villégiatures ...
En tous cas pas des amateurs avec 4 sauts au compteur mais certainement quelques 0 en + !
Vohitra,
De notre temps, le brevet s’acquiert avec 6 sauts dont :
– 4 normaux de jour
– 1 de jour avec manipulation du parachute ventral
– 1 de nuit.
Je me souviens bien de l’histoire de ce général puma noir, un « héros » digne de « sauter en enfer » quand même : "spécialiste des sauts en mer côté Sainte-Marie.
Tous mes respects Shalom...
Et votre cadet le korontamby dans tout ça, ces médailles sur sa poitrine, un brevet de para en fait partie ou quoi ?
Et pour cette formation pas un saut de nuit ???
Commandos para vita gasy qui vont faire trembler tous les mercenaires en culotte courte qui pourraient se présenter ?
Bob reviens : ils sont devenus fous !
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Quand je pense qu"il fut un temps où le parachutisme pouvait se faire en amateurs ....juste pour le plaisir !
Il n"y avait pas encore d’aquaplane...
Jamais d’accident de ce genre !
Bonsoir Bekily .
C ’est toujours le cas et il y a des addicts qui ont plus de sauts que des militaires même engagés dans les para !
Ils taquinent pour la majorité les 3 à 4000 sauts & + ...
Il faut dire qu’ en 2008/10 ( approximativement ) le saut coutait aux alentours de 100 Francs
à raison de 2 par week end ça faisait un budget conséquent + l’ essence pour se rendre au para club ! ( +ou- 120 kms A/R )
La différence avec l’ armée : la hauteur (en fonction du prix aussi).
Le but étant la chute libre & la précision d’ atterrissage & non le saut par lui meme avec ouverture automatique au bout de 3 secondes après largage contrairement au civil qui sont en commandés .
Il faut rappeler que la France est championne du monde dans les sauts à plusieurs formant une étoile dans le ciel ou plus de 100/120 chuteurs se regroupent en étoile avant de se séparer, pour cela il faut sauter à 4000m et plus mais la France comme à son habitude interdit plus haut, il faut pour cela aller en Afrique du Sud. (sauf peut être pour ces compétitions internationales ?)
Un de mes copains en faisait...sorti avec quelques tassements de colonne vertébrale quand même.....
Mieux vaut avoir une très bonne musculature...en plus de.la technique....
Hihi
Regardez le colonel Bigeard ...si le nom et bien écrit....
PS : on est loin des 4 sauts à ouverture automatique pour être confirmé parachutiste dans l’ armée Malagasy ...
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Les voiles ont beaucoup évolué depuis les chocs à l’ atterrissage sont devenus minorés, de plus savoir atterrir s’ apprend , il vaut mieux se positionner face au vent que le contraire ce que beaucoup n’ ont pas encore compris ...
Certes il faut avoir une bonne condition physique ( ça peut aider ? lol). Mais le parachute traditionnel ( en forme de méduse) c ’est obsolète sauf peut être à Madagascar ?
Ces morts soit disant dues au vent, je n’ y crois pas par contre le pliage est fait par celui qui a sauté ! et au bout de 3 ou 4 sauts, on ne peut pas dire que vous soyez un expert mais le devoir de confiance est la condition sine qua non pour sauter : faire confiance à celui qui avant vous l’ a plié sensé être aussi méticuleux que pour soi ? je dis bien : sensé !
Mais 3 quand ces pliages sont réalisés sous le regard averti d’ anciens confirmés il y a un séisme quelque part que je ne m’ explique pas ?
Une chose est certaine il y en a qui savent ! « la parole est d’ argent » vous connaissez la suite ...
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Un schisme & non séisme .