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Michèle Ratsivalaka, maire par intérim désignée par le maire Andry Rajoelina, a été destituée par le Conseil municipal. Le coup a été préparé depuis plusieurs mois et l’opinion tananarivienne a du mal à croire que le maire, devenu président de la Haute Autorité de Transition, exerçant les fonctions de chef d’Etat, n’en ait pas eu vent.
Interrogé par la presse ce jeudi 16 juillet en milieu de journée, Andry Rajoelina regrette qu’on étale ainsi les problèmes internes en public. « Les linges sales se lavent en famille » dit-il. Faisant partie d’une même équipe, reconnaît-il, Michèle Ratsivalaka et le Conseil municipal devaient dialoguer et discuter pour trouver la solution aux problèmes car leur objectif est de développer la ville. Andry Rajoelina s’est dit prêt à rencontrer les deux parties.
Entre temps, des sources informées indiquent que Michèle Ratsivalaka et le Conseil municipal se sont réunis à huis clos ce 16 juillet 2009.
Recueilli par Bill
Vos commentaires
A qui va-t-on faire croire encore que Rajoelina n’y est pour rien là dedans ?
Ou bien c’est juste comme le hasard fait bien les choses qu’un de ses amis en plus un DJ a été nommé pour cette place ?
Effectivement , c’est plutôt à Rajoelina de laver ses linges en famille avant d’accuser sans cesse les autres. N’est-ce-pas au jour d’aujourd’hui ?
C’est à l’image même de la psychologie du malgache. Que voulez vous ?
Le pays n’est pas gouverné, la ville des mille n’est pas gérée, les détritus envahissent la ville, le banditisme règne en maître comme les gens en uniforme, mains basses sur toutes les richesses. je ne savais pas que la Pauvreté touchait uniquement les bas quartiers et le monde rural quand on note parci parlà que ceux qui sont censés montrer le bon exemple s’acharne pour tout accaparer. Quel pays ? quqel peuple ?
Si les ambitieux diffusent le problème interne en public faute de dialogue, il est normal si Andry Rajoelina intervient pour les faire revenir à la raison. La réaction de Andry est une réaction digne d’un RAD (Ray AmandReny). Il est bien mûr (MATOTRA) ce jeune ex-DJ.
aza miseho ho hendry eo ry foza ;ra hendry ianao tsy nanongam panjakana.raharaha ny tananan antananarivo io ka rariny ra mahafantatra ny zava misy ny vahoakan antananarivo.ary aza mieritreritra ny hananatra fa ra mbola ianao ko no andry rajoelina dia tsy hisy olona hiaino ny hanatrao ;mba miseho miteny nefa ny nataony aza zavatra tsy faseho masoandro.mpampiana dratsy ;aza maika ianao f efa miomana any ny olona hanongana anao.TSY HO ELA INTSONY
Pourriez-vous, avec tout le respect dû, avoir un peu plus discernement quand vous parlez du « malagasy » ?
La « psychologie » du malagasy n’est en rien néfaste si on sait l’appliquer.
Si elle ne fait des miracles, à l’instar de la psychologie latine, bèrbère ou mongole, elle fait la part belle au bien commun. Même les étrangers le constatent.
C’est comme tout principe, tout dépend qui en fait usage, pour quoi et comment.
Les bons exemples sont autant légions que les plus méprisables.
Un malagasy psychologue.
Ray aman-dreny hoe no dikan’ny RAD ry Maharaka ???
ahahahahaha ihihihihihihi
RAD = Radomelina = Ray kely domelina
Satria nahoana ??
IL A OSE LEVE LA MAIN SUR SON PROPRE ENFANT TELLEMENT FORT QUE CE DERNIER A FAILLI MOURIR.....
Ny ray aman-dreny aloha raha amin’ny Malagasy dia matotra daholo fa ity raikalahy ity toa tsy izany loatra....
Normal dites- vous ? Le bon sens préconise une intervention au moment opportun. A mon avis, leur complot est tout simplement entrain de tourner au vinaigre, et tout le monde veut avoir sa part du gâteau,...et personne ne veut lâcher le morceau. Et nous, on commence à déchanter...mais il faut dire que la motivation n’était pas, dans un premier temps, axée sur l’intérêt national mais plutôt personnel...Espérons que ce cohue ne durera pas longtemps parce qu’au final, c’est toujours le petit peuple qui trinque
Ingahy Andry ve...? Andry hazoboboka io no hianteheranareo « maneno takaha ny kipantsona poakaty » hoy ny baiboly tsy azo inoana hahasoa na ny lazainy na ny fanaony.Mila mahandry fotsiny fa efa manomboka tanteraka izao ilay hoe « izay namono t@ sabatra dia hojinjain’ny sabatra ihany koa » mahazakà àry tompoko isany fa tsy nataotao foana akory ny hoe « izay nafafy ihany ange no jinjaina e ».
Ce n’est qu’une question de temps et il est certain que le temps ne joue pas en faveur de ces voyous.
Un panier de crabes qui se fissure. Pouvoir mal acquis qui ne profite à personne. Ce serait normal qu’il paye tout cela à la fin. Gérer la vie des gens sans en avoir les compétences. Une issue : la sortie.
Il y a les ordures , il y aussi les linges sales !
Est-ce qu’il y une opposition digne de ce nom à Madagascar pour intervenir et apporter la propreté à tous les niveaux ?
Je parlais il y a quelques jours de cela de grimaces, rictus et rires jaunes des HATS.
On en a l’illustration parfaite avec cette « affaire Ratsivalaka » :
On vire le locataire précédent pour y mettre les copains (copines), qui eux même n’ont aucune vergogne à piquer le siège.
On ne prépare rien du tout, on n’élabore aucune stratégie (sauf celle de virer, spolier et voler), il n’y a pas de concertation, bref on bricole...
On soudoie ou on corrompt(encore une subtilité de langage)les fonctionnaires ou militaires en place, ils acceptent car ils veulent être payé.
On écrase, on censure, on cache, on manipule, on dissimule tout ce qui est compromettant.
Enfin, on finit par s’apercevoir que ça ne fonctionne pas. On essaie de marcher sur la tête, on se persuade que le mur va casser, on se dit qu’on est capable de faire mieux que tous ces idiots précédents...et BING, ça ne marche toujours pas.
On fait l’entêté, la mule à grande g... et on dit que c’est les autres qui sont mauvais. Puis on replâtre, on rustine(le verbe existe ?), on passe la serpillère tellement c’est moche.
On pense que l’on va faire illusion longtemps à ce rythme.
On devrait s’en aller avant qu’on nous botte de là, ce sera moins douloureux peut-être ?
De mieux en mieux... la gestion d’une ville appartenant à la population est une affaire de famille exclusive aux putchiste !
Et ça se permet d’accuser un gouvernement légal, des mêmes maux.