Il est clair que le fuyard a dû mettre à profit, la tergiversation de la transition à enclencher le « wanted, Rajoelina », pour mettre à l’abri d’éventuelles, recherches indiscrètes : un certain nombre de ses avoirs en France, Suisse, ou à Monaco, cité, lors des ventes, sous le manteau, de bois rose…
Quand au Qatar dont il voulait en faire une plaque tournante de ses business, par l’entremise de son fils, diplômé ? de l’école hôtelière de Lausanne, pas sûr, qu’il soit très coopératif…
Bref, en dehors de ses biens immobiliers dont personne ne sait, si, par précaution, certains ne seraient pas, au nom, de prête-noms, comme d’autres l’avaient fait avant lui, pour noyer les pistes, indiscrètes..
Bref, ces recherches et ses aides, demandées, risquent d’être décevantes au regard de ses avoirs réels…
Il pourrait aussi bénéficier des réseaux d’un certain ami français , un expert en la matière compte-tenu, de ses antécédents et de ses multiples casseroles en la matière..
Soupçonner est une chose, mais, apporter les preuves, une autre bien plus délicate à démontrer ou à mettre à jour !..
Ceci pour dire que ceux qui se réjouissent à l’avance ou qui accompagnent l’hallali en estimant que les jeux seraient faits, en seront pour leur pomme !
Cette demande expresse de la transition a peu de chance d’aboutir à des résultats spectaculaires et elle le sait…
La mettre en œuvre dénote simplement, sa volonté de redorer l’image, flatteuse, du nouveau pouvoir, par rapport à celui, d’hier, entachée par une corruption, institutionnelle et collective..
Mais, rien de bien neuf, puisqu’à chaque changement de président, le même stratagème est utilisé par les nouveaux locataires, pour aboutir chaque fois, au même résultat : le tourner manège qui risque de faire, pschitt, dans la durée !..