Le 6 octobre prochain, lors de sa 27e session, le Conseil des ministres de la Commission de l’Océan indien (COI) qui se déroulera à l’île Maurice, examinera la mise en œuvre de la feuille de route de sortie de crise à Madagascar et ses modalités d’application sous l’égide du bureau de liaison de la SADC, qui travaillera en étroite collaboration avec l’Union Africaine, les Nations Unies, l’OIF (Organisation internationale de la Francophonie) et la COI. Organe suprême et décisionnel de la COI, le Conseil des ministres se réunit tous les ans pour échanger sur des sujets politiques d’intérêt régional, faire le bilan des actions menées pendant l’année écoulée et proposer des lignes directrices pour l’année suivante. Il délibère sur les dossiers préparés par les Officiers permanents de liaison avec le concours du Secrétariat général, dans les différents domaines d’intervention de la COI. La Présidence a tenu, pour cette 27ème session du Conseil, à mettre l’accent sur deux gros dossiers, politiques et économiques.
Outre les représentants des 5 États membres (Comores, France/Réunion, Madagascar, Maurice et Seychelles), les principaux bailleurs de fonds et partenaires de la COI y assisteront également : l’Union Européenne, l’Agence Française de Développement, l’Organisation Internationale de la Francophonie, la Banque Africaine de Développement, la Banque Mondiale et le Programme des Nations Unies pour le Développement.
Autres sujets qui seront examiné par le Conseil des ministres de la COI :
– la lutte contre la piraterie maritime, un fléau qui pèse sur la région, avec des répercussions majeures sur la pêche et le tourisme, deux piliers économiques dans plusieurs pays. La COI entend apporter une solution régionale, en mettant en place de nouveaux mécanismes et en mobilisant ses projets pour sécuriser davantage son espace maritime, grand comme deux fois la mer Méditerranée ;
– l’amplification de la coopération économique et commerciale entre les États membres de la COI, au sein d’un Espace Économique et Commercial renforcé, doté de structures et de moyens adéquats. Cet Espace Économique et Commercial renforcé vise à accélérer les échanges inter-îles, faire de l’intégration régionale un vecteur de développement et préparer la région et ses acteurs économiques à relever les défis de la mondialisation ;
– la promotion de la destination Océan Indien sous le label « Îles Vanille », pour dynamiser le tourisme, un secteur économique clef des pays de la COI et en faire un moteur du développement régional durable.
Cette 27e session du Conseil des ministres de la COI est rehaussée par la participation du Premier ministre de la République de Maurice, Dr Navinchandra Ramgoolam, qui prononcera le discours inaugural. Sa présence, aux côtés du mnistre des Affaires étrangères, de l’intégration régionale et du commerce international de la République de Maurice, Dr Arvin Boolell, marque le niveau d’engagement du pays hôte, qui a exercé cette année une présidence très active de la COI, en jouant notamment un rôle déterminant dans le processus de sortie de crise à Madagascar, pour rapprocher les protagonistes malgaches et faire aboutir la signature de la feuille de route.
Parties prenantes aux décisions, outre les hôtes mauriciens, les ministres des autres États membres –ou leurs représentants- conduiront leurs délégations à ce Conseil :
– M. Bakri Ben Abdoulfatah Charif, ministre des Relations extérieures et de la coopération, chargé de la Diaspora, de la Francophonie et du Monde Arabe, de l’Union des Comores ;
– M. Edouard Courtial, secrétaire d’État auprès du ministre d’État des Affaires étrangères et européennes, chargé des Français de l’Étranger, au titre de la France/Réunion ;
– Mme Yvette Sylla, ministre des Affaires étrangères, de Madagascar ;
– M. Jean-Paul Adam, ministre des Affaires étrangères des Seychelles.
Recueilli par Valis
Vos commentaires
Umar Timol
je sais tes blessures
dans les entrelacs du temps
je sais que le souvenir du sang
sentence les traversées de ces pierres
je sais que tes mots
lapident tous les sillons de la grande souffrance
que tu foules les terres
drapée dans un manteau d’ombres
que tout bonheur
même le plus limpide
est archivé
dans l’acide
je sais les absences de ta chair
de même que ses fougues
je sais que ta sérénité apparente
recèle les persiflages de la folie
que toute cette clarté
confond les plus grands abysses
qu’elle peuple de lumière
mes poèmes
je sais que tes tresses
noires et précaires
déploie les palimpsestes des nuits
je sais que tu sèmes dans ces fleuves qui creusent ma peau
cette parole
qui engrange les soleils
je sais les rêves tailladés
et le verbe testamentaire qui les cautérise
je sais que tu es possédée
par les cabales de la mésalliance
par cette poésie convulsée
qui fourrage tes sens
par l’angoisse d’un ailleurs
qui ne cesse de fuguer
je sais les canevas de ton être
les premières pulsations de ton cœur
les algèbres de tes paradoxes
je sais que tes mots
sont un miroir
où je me contemple
et deviens ce que tu contemples
ce visage embrasé
par les narcoses de la beauté absolue
http://twitter.com/#!/sainagasydadabe
bonjour saina gasy, que je suppose ami post-cataclysme.
c’est grand...silencieusement grand. Mais à quelle femme s’adresse ce poême (humour féminin) ?
En tout cas pas à la pipelette que je connais, ni à la ch.ieu.se qui pleurniche tout le temps, encore moins à la virago dont les hormones mâles font le yo-yo avec les femelles. Peut-être à celle, grave, qui de son regard profond a ausculté mon être, ou alors l’autre légère, aérienne, qui de son air si détaché qu’on la sentait diaphane, ne laissait planer aucun doute sur son détachement des douleurs de ce monde...
En tout cas j’aime...
salama,
aprés Mama Sana,
je cours aprés.. les paroles de ses chansons !!
http://www.greatsong.net/MAMA-SANA,999965371.html
Dadabe, troller en herbe ?
j’arréte la , pour aujourdhui
merci de votre tolérance
Modiano ? ------
De toutes façons, comme on dit au pays des trolls : « SKOAL ! »
na dia « chien errant » hoy ianao izay, dia mankasitraka nohon’ny fandrentanao ny kolotsaintsika sy ny francophonie izay ifampizaran’ny rehetra eto izay mbola liana kolotsaina sy fivoarana.
Salama tokoa !
Parfois lorsque tout paraît être dans le flou,
Quand celui qui caresse semble vouloir vous rendre fou,
L’utilisation des mots bien qu’ils soient mirifiques
Ont de ces connotations qui sont dites cataclysmiques,
Je ne sais si parfois, j’ai du mal à comprendre
Où le peu que j’aie bu hier a du mal à descendre,
Je ne sais si souvent, je dénie tout ce que je lis
Est-ce un engagement entier ou une facette de la folie
Mais ce poème que saina gasy dadabe nous dédie
Me semble adressé à cette entité de COI !?!
Ne cherchez pas ailleurs l’idée de cette ponctuation
C’est d’un joueur d’échecs qui se demande s’il a raison
Ou s’il a tort sur ses idées, sur ce qu’il écrit
En étant non partant sur la position de la COI.
Et pour dire ce que je pense sur ce qui est négociation,
Une entité qui rassemble ne doit avoir un parti pris
Et d’après tous les dires des membres de cette association
Ils ont l’air de ne pas être neutres cette commission de l’OI.
Mais enfin puisque les antagonistes manquent de volonté,
Puisque le mot fihavanana ne semble plus nous lier,
Laissons les faire à leur façon, il ne faut les contrarier
Et ne me dites pas que nous avons encore une souveraineté.
Le mot a perdu tout son sens et n’est plus qu’un leurre
Les Officiers de notre Armée ont perdu leur honneur,
Je ne sais s’ils disent encore de tout cœur : Ho an’ny Tanindrazana
Ou à l’instar en mercenaires, ils crient doucement : ho an’ny tany ngazana.
yo !!!
viva kotondrasoa ! standing ovation, là, de suite SVP !!
merci l’artiste, je vous reconnais bien là.
da fily,
Thank you for the nothing
As you know, I like crying
And I cry but does someone hear me
Who listen ? My own people or the OIC ?
I’m bored of the politician
I’m bored of the boy who thinks He is the best man
And this poem is not a talent
But I don’t like to be silent
And then, to be an accomplice
So stop, give up, suffice.
i enjoy, mierda...j’apprécie en français, puiqu’on est en francophonie aujoourd’hui.
Sommes-nous si indisponibles à rester COIs ?
Car le temps du temps cliquette son rythme
La fable entonnée aurait encensé notre foi
Tout en incluant un changement de paradigme
Quo vadis ? Pourraient crier les prétendants
Comme je le suis, et certains d’autres suivants
A vouloir le légitime bien de nos semblables
ou tout au moins le minimum indispensable
Assommés par l’absurdité de nos comptables
Transformés en plaideurs de l’inadmissible
Complices des tourments, régisseurs en diable
Du complot des envieux, pour qui tout est devenu possible
Misère quotidienne enflammée par quelques rasades
Lave brûlante dans cet intérieur en friche
Les blessures du moment sont autant de brimades
Que ne peuvent panser la seule aumone des riches
Sottises bien vaines de l’insolence de cet enfant
Regardant avec peine son frère, sa soeur, son parent
Soumis au seul bon vouloir du plus fort du moment
Obsédé déja par le seul et unique ressentiment
Je me calque au plus près de mon triste semblable
Lui n’ayant plus de saints, de samaritains ou autre COI
A qui vouer sa peine et sa condition pitoyable
Est-ce que je saurais lui pardonner mes ennuis ?
Mon pays, ma demeure, mon sein et ma matrice
que deviendras-tu demain, aussi piétiné et meurtri ?
Les anciens, les actuels sont devenus complices
des bravaches inconsidérées piques qui t’ont anéanti !
Yes still alive & well thanks to both of U .
Back soon .
Madame Yvette SYLLA,c’est votre devoir de réussir dans cette négociation.
Courage et confiance,Madagascar vous serait très reconnaissante.
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
Basile c’est la seule planche de salut qui va nous faire sortir de cette crise
cette foutue FR .Moi (personnellement) je fait confiance à la constitution de la 4é rép telle qu’elle a été « approuvée » par les(une partie ) peuples malagasy.
On a affaire à la mise en œuvre de cette FR.Les groupements politiques ont déjà fait leur choix sur la nomination du PM , des membres des institutions de la transition .Pour l’heure ça reste toujours confidentielle Le dernier mot appartiendra à Rajoelina.Izay tapaka eo dia tapaka et ce ne sera pas du tout une décision unilatérale puisque Rajoielina n’a plus d’autre choix que ce qui a été désigné .Pour votre gouverne entre autres il y a la mouvance Rajoelina, Zafy (représenté par Manoro Régis
Emmanuel R...sur ce il parait que Zafy mène une double jeu ou double langage) et les autres entités ou groupements politiques .
Connaissez vous l’histoire de Than Shwe le dirigeant du Myanmar ?
Sans avoir fait des études secondaires, Than Shwe est devenu le plus haut
dignitaire de ce grand pays qu’est la Birmanie.
TOUTE RESSEMBLANCE ENTRE Rajoelina et Than Shwe n’est
que purement fortuite. IDEM ENTRE la France et la Chine
Ressemblance dites-vous, entre TS et AR ? Et donc par association, Franco-Chino… ?
Parlez-nous un peu de leur accomplissement chacun pour le développement de leur pays respectif ? Vous comprendrez mieux que la ressemblance n’est que l’étui d’un pur hasard qui, même aussi reluisant soit-il, ne suffit guère à porter un bon jugement du livre couleur d’or, encore moins le contenu et la substance du livre en sa profondeur. Tout dépend de l’auteur, et très peu de l’acteur.
En tout cas, loin d’être une fortuité forcenée, ni même une destinée, ce n’est pour l’instant qu’une pure coïncidence qui est encore trop écarlate pour en faire ne serait-ce qu’une simple notion de rapprochement, même politique.
Hélas pour moi, toute ressemblance s’arrête là, si ressemblance il y a vraiment. Car n’est pas AR qui veut, sauf pour ses purs fanatiques, qui ne seront au fait que son sosie tout au long du parcours.
Pour TS, il a réussi à faire d’une birmane un prix Nobel. L’a-t-il vraiment
voulu ?
Pour AR, il nous a fait avancé de 51 ans en éradiquant tout
ce qui est farfelu (éducation, croissance, emploi, démocratie).
Mais dans le second cas, tout est intentionnel
Pour les vieux amis de Mada vivant à l’extérieur, ce genre d’articles centré sur les personnalités politiques en exercice devient fastidieux et inutile à la cause de Mada. Il serait plus utile que les journalistes dénoncent et décrivent sans relâche les exactions qui ruinent chaque jour le pays à grande échelle : par exemple, l’accaparement des terres par des groupes étrangers quasi criminels continue de plus belle sur tout le territoire depuis 2008 et on n’en parle presque pas ; les déplacements et expulsions des paysans de leurs terres est une réalité vécue quotidiennement à Mada, et on n’en lit que quelques lignes de temps à autre ; le refus du pouvoir d’établir la moindre législation pour l’exploitation des richesses du sous-sol (minerais, sable bitumeux, etc...) est encore plus fort qu’à l’époque coloniale. Faites du vrai journalisme d’investigation pour faire apparaître la vérité sous-jacente au jeu machiavélique de la classe politique.
MOI JE DIS AU DIABLE LA COI !! Qu’est-ce qu’elle a encore à fourrer son nez dans les affaires de la SADC ? COI = cheval de troie français. Il n’y a qu’une seule interprétation possible de la feuille de route, que la Troïka nous explique laquelle. Déjà certains veulent traduire la feuille de route en malgache (perte de temps inutile), si la COI s’en mêle se sera pire. Que chacun s’occupe de ces affaires, c’est à la SADC de nous expliquer les pourquoi du comment !
Sans être francophobe primaire , nous avons besoins de la COI , avez vous oublié que l’île Maurice qui fait partie de la COI achete nos preoduits ( fruits , légumes , viandes , crevettes etc..) de plus nous n’avans pas assez de garde côte , quand les cyclones arrivent , c’est l’armée française basée à l’île de La Réunion qui nous aide . Avez vous remarquez que La France a besoib de nous bientôt , car nous serons producteur de pétrol et de gaz . Je préfère avoir affire à La France , aux îles de l’océan indien que les chinois qui nous vendent des articles que même la polulation chinoise de Pékin n’en veut pas . Je me souviens ce que disaint les colons frnaçais , nous exportons nos articlers de mauvaises qualités vers nos colonies , C’est la même chose avec la Chine populaire,
Sans Madagascar, la COI n’est rien. Elle n’a rien à dire, Betoko ! Elle attend comme les autres (maurice, réunion, etc..) que le géant Madagascar se réveille. Après, ils pourront quémander à commercer avec nous ! Devant la SADC, on se tait, c’est aussi simple que ça.
Ne confondez pas tout. Le géant est encore à terre, mais une fois la crise passée, ils nous mangeront dans la main. Depuis des années, on a voulu faire notre place dans cette COI de merd.. qu’est-ce qu’on a obtenu ?? rien ! Nada, si ! l’immixion permanente de Renymalala dans nos affaires. Qu’ils dégagent ! et qu’ils suivent seulement après, quand on aura intégré le libre échange d’Afrique méridionale !
Je vois NIRY que vous êtes francophobe j’allais dire primaire, mais elle a besoin de nous comme nous avons besoin d’elle . Dites vous bien que la France protége ses interêts à Madagascar . Combien y a t il d’entreprises françaises il y a à Madagascar, à commencer par les banques ,même La BOA , mais c’est à nous de dicter nos interêts contrairement à ce qui s’est passé en 1960 où Tsiranana a signé tout ce que La France a proposé, surtout la question des îles éparses qui parait il on y trouve du phosphate exploitable . Vous allez peut peut être me taxé de pro frantsay, mais je regrette bcp que depuis des lustres nous n’avons plus des prof vaza ni dans les lycée ni dans nos facs , surtout en médecine , il nous en manque beaucoup . Entre 1960 et 1975 , nos niveaux d’étude ont étonné les français de france sans parler des africains, nous étions brillants , hélas 1972 a tout détuit à cause de notre nationalisme mal placée et aussi endoctriné par l’AKFM et Didier Ratsiraka. Je me souviens de la démagogie de Manandafy , qui disait en substance , "vous ne devriez plus parler en français, maintenant c’est la malgachisation, . Je suis d’accord qu’ à cette époque , nous connaissons plus l’histoire de France que l’histoire de Madagascar , mais on aurait dû enseigner les deux .
Je ne sais pas où vous êtes Niry, en France ou à Madagascar, mais à chaque fois que j’aille à Tana , tous les jours je vois les publicités des écoles privées qui disent ceci « Ecole privée d’expression française » Cela ne veut pas dire que nous sommes encore une colonie française, mais quoi qu’il en soit tout est toujurs en français , il vous suffit de voir dans les administrations , surtout dans les tribunaux .Même dans 20,30,ou 50 ans , nos enfnats et petits enfants ou arriére petits enfants parlerons toujours le français( le preuve vous même qui êtes ici, s’exprime en français , dois je comprendre que vous êtes vraiment FRANCOPHOBE ?
niry,
La COI est une coopération régionale qui regroupe :
– Comores,
– France (La Réunion,Mayotte),
– Madagascar
– Maurice ,
– et Seychelles.
Basée à Maurice,le Secrétariat général est composé de cinq chargés de mission (un par Etat) qui assurent le fonctionnement et gèrent le suivi des projets financés par des bailleurs des fonds et partenaires.
Elle se bat pour défendre les intérêts des îles du sud-est de l’Océan Indien,leurs spécificités économiques ,sociales,géographiques et biologiques et leur identité régionale,pour accompagner le développement durable et harmonieux de la région.
Mandats/projets de la COI
1-Coopération diplomatique en vue d’appuyer la stabilité régionale et la bonne gouvernance et de participer au dialogue politique et stratégique entre les Pays membres.
2-Coopération économique et commerciale vise à insérer les économies insulaires à l’économie régionale et mondiale.
3-Le développement régional durable se concentre :
– d’une part,sur la protection des personnes et l’améliorationde leur qualité de vie
– et d’autre part,la préservation des ressources naturelles terrestres et marines.
4-Le renforcement de l’identité régionale et le rapprochement entre les Peuples sont recherchés par l’intensification des échanges culturels et la mise en réseau des professionnels et d’associations sur les t
thématiques de la jeunesse,du genre,de la formation et de la mentalité régionale.
En 2011,Madagascar fait partie de la COI,
niry,
que ça vous plaise !! ou NON.
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
betoko,
demandez plutôt aux « 68- tars » Malgaches, revenus à Madagascar pour faire de la révolution« 1972,c’était une occasion rêvée pour faire un peu de bordel dans le Pays,dirigé par un »bouvier",le Père Tsiranana
Il faut arreter ce cirque des étrangers qui veulent régler nos problèmes nationaux, fusent ils aussi graves que maintenant.
Au Proche Orient, on a besoin besoin d’une médiation pour régler les différends entre Israeliens et Palestiniens. Deux peuples différents qui se battent pour un même teritoire.
Ce n’est pas notre cas. On est entre Malgaches. La solution doit donc passer par un processus de règlement malgacho-malgache.
Et même si le mal est fait, qu’on ait signé une feuille de route concoctée par des étrangers, il est encore temps pour se ratraper.
Prenons la feuille de route puisqu’on l’a signée et faisons en un cadre de discussion malgacho-malgache pour arriver à bout de cette crise. Si vraiment les étrangers veulent nous aider, on le leur dira une fois trouvée ensemble les voies de sortie de crise et une fois établie ensemble les moyens à mettre en oeuvre.
Pour commencer, puisque les 4 chefs d’Etat sont à l’origine du blocage, qu’ils se rencontrent en tant que chefs d’Etat et non plus en tant que chefs de mouvance.
Le reste suivra plus aisément, car ce sera un début de reconaissance mutuelle en tant que personnalités ayant occupé les plus hautes fonctions de l’Etat. Ils seront donc sur le même niveau de considération pour discuter de la sortie de crise.
Un grand pas en avant !
Ce qui dérange les éxilés de rentrer c’est l’alinéa 2 de l’article 20 de la Feuille de Route qui stipule :
« Ainsi, « sans conditions » ne suggère et n’implique pas les citoyens malgaches rapatriés une exonération de poursuites judiciaires ou pour des crimes allégués ».
Un alinéa qui fait réflèchir certains contribuables ayant un emoralité douteuse. Ratsiraka, dans le doute, s’est abstenu de signer...
Chose bizarre aussi, le lieu de signature en Septembre 2011 : au PAON D’OR !!! Phonétiquement, çà fait penser à PANDORE, de la mythologie grecque, qui détint la boîte fatale de tous les maux qui se répandirent sur la terre quand elle l’ouvrit. Et il ne resta au fond que l’espérance.
Aléa ou coïncidence fortuite, tout a été fait au « PANDORE » , ou « PAON D’OR », pour ouvrir la boîte des mots (où certains ne les ont pas lus, réfléchis, ...) et des maux pour ne laisser que l’espérance de la sortie de crise est encore loin ... Très loin, le « moramora » aidant !
Vraiment, on n’est pas prêt pour sortir de l’auberge !!! Tout le monde signe, paraphe, appose son grigri sans comprendre que çà vaut accord de volonté avec toutes ses capacités et sans contraintes
: SIGNE-EMBALLE-EMPAQUETE !
Ratsiraka, c’est clair : il n’a pas signé.
Ravalomanana peut faire valoir que ce n’est pas lui qui a signé ou que son mandataire n’est pas habilité ...
"C’est très grave, Docteur !...
En attendant, donnez moi du doliprane et un verre d’eau, s’il vous plaît !".
Misaotra tompoko !
Pas mal les proses de DA FILY, de SAINA GASY DADABE et de KOTONDRASOA ...
Une manière, un art de s’exprimer autrement.
Des tempos, des POINTS D’ORGUE dans ce forum.
Merci à vous,
Merci au site,
Merci aux lectrices et lecteurs,
Veloma tompoko !
Bonjour,
Excusez du retard pour répondre. Nécessité oblige.
da fily,
Le mien n’était qu’un essai,
Le vôtre, une réussite assurée,
Et oui, pourquoi vouloir rester COIs
Alors qu’ils se fourvoient, en voulant être soi !
Comment pourraient-ils savoir
Nos aspirations, nos vouloirs,
C’est à nous des les exprimer
Il est de notre devoir de lutter
Pour notre liberté, pour un lendemain meilleur
Pour un vrai changement qui ne sera plus un leurre.
Comme chacun a son idée sur la question,
Lions-les et c’est le pourquoi d’une négociation
Mais rien ne va maintenant et je pense que rien n’irait
Puisque le petit croit posséder toute la vérité
Une vérité construite sur des larmes,
Une vérité érigée par la force des armes,
Une vérité de la France, de Maurice et du COI
Une vérité de mercenaires qui crient allègrement : POUR LA PATRIE
Merci pour tous ceux qui croient que MT est un must car ici, au moins, tout le monde peut s’exprimer et aucun post n’est censuré, du moment qu’il respecte les bonnes mœurs.
Et pour ceux qui disent que MT n’est pas utile, alors pourquoi y venir lire ? Pourquoi perdre son temps à lire nos âneries.
Il y a un temps pour toutes choses : aujourd’hui la réflexion, demain l’action, pour d’autres l’abandon mais rien n’est inamovible.
Ny vatobe nitoetra teo ambany tanànanay, noheveriko tsy hiontsona mihitsy kinanjo lasan’ny riaka ihany.
Ny ampitso antenaiko raha mbola velon’aina koa, tsy fantatro izay avoakany, mamolavola ihany aho, maniry ihany fa tsy izaho no tompony ary tsy ianao koa, sao izao no fotoana hiovàna ? Ny làlan-diso ialao, ny làla-marina araho.
good morning koton’
sans votre amorce, je ne puis rien amener. Ce fut une véritable provocation, je ne pouvais que rétorquer aussi sec, la tentation fut trop forte, pardonnez je suis faible...
Simplement merci pour le chemin parcouru.
La COI tiendra à partir de demain, 6 Septembre 2011, une reunion annuelle, et se penchera entre autre sur le cas de Madagascar et l’application de la Feuille de route à priori. Elle « examinera la mise en œuvre de la feuille de route de sortie de crise à Madagascar et ses modalités d’application sous l’égide du bureau de liaison de la SADC, qui travaillera en étroite collaboration avec l’Union Africaine, les Nations Unies, l’OIF (Organisation internationale de la Francophonie) et la COI. » (selon l’article de Valis sur MT).
Si tel est le cas, est-ce que la COI a aussi tenu une réunion en 2009, et une autre en 2010 ? Quels étaient les objets de discussions concernant la crise à Madagascar des 2009 et tout au long de l’année 2010 ? Ils ont certainement du suggéré une certaine résolution à chaque fin de réunion. Qu’a-t-elle donc suggéré à ce propos ? Qu’a-t-elle pu entreprendre pour aider le peuple malagasy à résoudre la crise depuis ? Constatation faite, la crise perdure jusqu’à aujourd’hui. Que peut-on alors espérer cette fois-ci à l’issue de cette réunion de la COI qui pourrait faire la différence, et mettre fin à la crise éventuellement ? Chose que ni la COI, ni la SADC, ni les Malagasy eux-même, n’ont eu le privilège de voir aboutir à une simple résolution depuis… L’on avance quand même, mais à quel rythme ?