La majorité des ménages malgaches utilisent le charbon de bois et le bois pour la cuisson. Une situation déplorable pour l’environnement, car favorisant la déforestation, mais aussi pour la bourse des utilisateurs. En effet, depuis un certain temps, le prix du sac de charbon n’a cessé d’augmenter passant de 4 000 ariary à plus de 9 000 ariary, actuellement L’adoption de nouvelles énergies alternatives devient ainsi indispensable et incontournable. Parmi elles, figure le charbon de (…)

Réputée pour être un formateur de cerveau et rarement des mains prêtes à travailler, la faculté des Sciences de l’Université d’Antananarivo, notamment le Département de Physique sort de sa tour d’ivoire. Un atelier sur la maîtrise des énergies renouvelables s’est déroulé à la salle de Conseil de la Faculté des Sciences de l’Université d’Antananarivo, hier. Il a été axé sur la mise en place d’une formation Licence Masters Doctorat (Lmd) s’intitulant « Licence d’Ingénierie, Energie (…)

« L’utilisation des énergies renouvelables s’impose ». C’est ce qu’a dit le secrétaire général (Sg) du ministère de l’Energie hier lors de la cérémonie d’ouverture des Journées de la Synergie énergie et environnement pour un développement durable qui a eu lieu hier à l’esplanade d’Analakely. A Madagascar, la consommation en charbon de bois est estimée à 100kg par habitant par an soit 1 700 000 tonnes par an. A ce rythme, les ressources forestières ne suffiront plus pour faire face à cette (…)

« Sauf imprévu, la nouvelle centrale thermique à base de fuel commencera à fonctionner à partir de ce mois de juillet ». Le directeur régional de la Jirama (Compagnie nationale d’eau et d’électricité), Armand, l’a bien dit dans une interview. Cette unité peut fournir une électricité jusqu’à 7 500 Kw, la puissance nécessaire pour alimenter toute la ville d’Antsiranana. Cette centrale est déjà arrivée sur place. Mais, il faut encore du temps pour les installations. Avant cela, une solution (…)

Chose étrange, plus le problème engendré par le délestage perdure, plus les responsables maîtrisant le dossier Jirama ( Jiro sy Rano Malagasy) se taisent. Du gestionnaire de la Jirama au ministère de tutelle et en passant par les syndicalistes, personne n’ose monter au créneau pour expliquer la mise en œuvre du plan de redressement actuellement en cours au sein de la Jirama. Au moment où le délestage est de retour en force, n’est-ce pas le moment idoine pour les responsables concernés de (…)